“J’étais aux portes du ciel et de l’enfer”
Le témoignage de Gloria Polo
(pour recevoir gratuitement ce livret à votre domicile merci d’en faire la demande sur le mail : [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien])
Table des matières
De la préface de l'édition portugaise par le père Macedo………………..……………………………………..
Introduction par le père Leone Orlando…………………………………..……………….…
L’autre monde……………………….………………….…
Le premier retour……………………………………… .…
À l’hôpital……………………………………………….…..
Les âmes du purgatoire…..………………………………
J’ai vu mes parents…..………………..……………...….
Mon jugement…….…………………………….……….…
Priez pour les prêtres…………………………….……….
Les sacrements……………………………………….……
Le mariage…………………………………...……………..
Honore ton père et ta mère………………………………
Satan et sa stratégie………………………….…………..
Les mensonges et la première confession mal faite
L’avortement de l’amie…………………….…………..
La perte de la virginité – ce qu’est l’avortement…..
L’avortement est le péché le plus grave; il est le plus terrible de tous……………………….………….……….
Mauvais conseils……………………………….……..…
Réparons nos péchés…………………………………...
Mon manque d’amour de Dieu………………………..
Le 6ième commandement : l’adultère…………………
Le 7ième commandement : tu ne voleras pas……….
Aime ton prochain………………………………..…..…
Le Livre de la Vie………………………………………..
Les talents……………………………………………….
Les trésors spirituels……………………………....…
Le retour……………………………………………......
Récupération physique ……………………….….…
Conclusion………………………………………..……
Ce témoignage de Gloria Polo m’est tombé sous la main par l’entremise d’un très bon ami. Quand j'ai pris connaissance de cette histoire, j'ai ressenti l'obligation de la mettre par écrit : les réalités de la foi que l’on retrouve dans cette narration ne m’étaient pas inconnues. Toutefois je ne voulais pas que tant de vérités tombent dans l’oubli et se perdent et j'ai décidé de demander au protagoniste de cette histoire l'autorisation de la mettre par écrit.
Le livret que vous êtes sur le point de lire ne contient rien de plus ni rien de moins, que ce que l’on retrouve dans les Saintes Écritures : mais, étant donné que beaucoup ne réussissent pas à voir la vérité en ce qui a trait à la vie après la mort, Dieu permet à quelqu'un de vivre cette expérience et de vérifier personnellement ce dont nous parle la bible.
Ce quelqu'un est Gloria Polo, qui en retournant dans cette vie est devenue comme un reflet lumineux de cette réalité qui nous concerne tous et chacun.
J'espère que ce témoignage de Gloria Polo pourra vous aider dans votre recherche de la Vérité.
Ce livret veut tout simplement vous montrer une réalité vivante que vous pourriez ignorer, quoique vous pourriez déjà la connaître, du moins en partie, si d'une certaine façon vous mettez déjà en pratique la Parole de Vérité appelée la BIBLE. (…).
Père Macedo, SCJSi quelqu’un pourrait douter, ou penser que Dieu n’existe pas, ou encore que la vie après la mort n’existe que dans les films, ou que tout finit avec la mort, rendez-vous un grand service et lisez ce témoignage ! Mais lisez-le du début à la fin ! Sûrement votre opinion, peut-être la plus incrédule, changera ! Nous sommes confrontés ici à quelque chose qui s'est véritablement produit !
Gloria Polo est une femme qui « est morte », elle a passé à l'autre monde et en est revenue précisément pour donner son témoignage aux incrédules. Dieu nous fournit de nombreuses preuves, mais nous persistons toujours à nier son existence.
Gloria Polo habite présentement en Colombie, elle continue à exercer la même profession qu’elle avait avant ces événements. Elle est restée avec d’énormes cicatrices, mais elle a une vie normale avec cette différence qu’elle est maintenant une grande croyante !
Elle voyage beaucoup, afin de partager son témoignage avec des milliers de personnes, accomplissant ainsi la mission que Dieu lui a confiée (elle a l'autorisation de l’église pour faire ceci).
Ceci est une transcription d’un de ses témoignages, donné dans une église à Caracas(Venezuela), le 5 mai 2005, et il est traduit de la version espagnole originale. Il est authentique !
Padre Leone Orlando[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
LE TÉMOIGNAGE DE GLORIA POLO
Bonjour, mes frères. Je suis heureuse d’être ici pour partager avec vous ce beau cadeau que le Seigneur a bien voulu me donner.
Ce que je vais vous raconter s'est produit dans l’après-midi du 5 mai 1995 à l'Université Nationale de Bogotá.
Je suis dentiste. Moi et mon neveu de 23 ans, également dentiste, nous poursuivions des études universitaires dans le but d'obtenir une spécialisation. Ce jour-là, c’était un vendredi aux environs de 16 H 30.
Nous marchions avec mon mari vers la faculté d'art dentaire afin d’y trouver quelques livres dont nous avions besoin. Mon neveu et moi marchions ensembles sous le couvert d’un petit parapluie tandis que mon mari vêtu d’un imperméable longeait le mur de la bibliothèque générale pour mieux s’abriter de la pluie.
Nous sautions tous les deux d'un côté et de l’autre afin d'éviter les flaques d’eau tout en restant près des arbres. Alors que nous sautions par-dessus une flaque un peu plus grande nous avons été frappés par la foudre qui nous a laissés tous les deux carbonisés.
Mon neveu est mort sur-le-champ. La foudre l’a frappé par derrière, brûlant tout l'intérieur de son corps, et est ressortie par ses pieds laissant toutefois l’extérieur intact. Malgré son jeune âge, c’était un jeune homme profondément religieux qui avait une grande dévotion pour l’Enfant Jésus. Il portait toujours à son cou une médaille en quartz avec l’image de l’Enfant Jésus. Les autorités ont indiqué par la suite que c'était le quartz qui avait attiré la foudre sur lui, le frappant directement au coeur et le calcinant en entier sur le coup…
Bien que l’extérieur de son corps soit resté intact, il a été terrassé par un arrêt cardiaque qui est demeuré sans réponse aux tentatives de réanimation des médecins, et il est mort sur place.
Quant à moi, la foudre est entrée par mon épaule, brûlant mon corps en entier, aussi bien l’intérieur que l’extérieur. En bref, ma chair avait complètement disparu incluant mes seins, particulièrement le sein gauche pour faire place à un trou. L’éclair avait aussi consumé la chair de mon abdomen, de mes jambes, de mes côtes; elle avait aussi carbonisé le foie et provoqué de graves brûlures aux reins, aux poumons, aux ovaires… pour finalement ressortir par mon pied droit.
En guise de contraceptif, j'utilisais une spirale (un appareil intra-utérin en forme de T), et comme le matériel dont il est fait (cuivre)est un bon conducteur d'électricité, l’éclair a également carbonisé et pulvérisé mes ovaires qui sont devenus comme deux raisins secs.
Je suis demeurée en arrêt cardiaque, presque sans vie, avec mon corps qui sautillait en raison de l'électricité encore présente en cet endroit.
Ce corps que vous voyez ici, maintenant, ce corps reconstruit, est le fruit de la pitié et de la miséricorde de Notre Seigneur.
L'autre monde
Mais c'est là le volet physique de mon histoire…
Le volet positif de tout ceci est que, pendant que mon corps carbonisé demeurait là étendu sur le sol, en ce même instant, je me suis retrouvée à l'intérieur d'un magnifique tunnel de lumière blanche. une lumière merveilleuse, qui me comblait d’une joie, d’une paix, d’un bonheur dont les mots me manquent pour décrire la splendeur du moment.
C'était une véritable extase. En levant les yeux, j’ai aperçu une lumière blanche au bout de ce tunnel, comme un soleil, une très belle lumière… Je dis blanc à défaut d’une couleur plus descriptive mais il s’agissait là de couleurs qui n’ont rien de comparable sur terre.
C'était une lumière splendide ; j’en ai ressenti une vive sensation de paix intérieure, d'amour, de lumière…
Quand je suis montée dans ce tunnel en m’avançant vers cette lumière, je me suis dit :
« Caramba, je suis morte ! »
J’ai alors pensé à mes enfants et j’ai soupiré longuement en me disant :
«Malheur à moi, mon Dieu, mes petits enfants ! Que vont-ils dire? Cette mère qui était tellement occupée qu’elle n'a jamais eu de temps pour eux… »
En fait, je partais tôt chaque matin pour ne retourner que vers onze heures, la nuit tombée.
Et alors je voyais la réalité de ma vie, et j'ai éprouvé beaucoup éprouvé de tristesse.
J'avais quitté la maison, déterminée à conquérir le monde, mais à quel prix ! …
Reléguant en seconde place ma maison et mes enfants ! … Dans le vide de cet instant, dû à l'absence de mes enfants, ne sentant plus mon corps, ayant perdu toute notion de temps et d’espace, j'ai vu quelque chose de très beau : j'ai aperçu toutes les personnes de ma vie… En un seul instant, en ce même moment, je voyais tous ces gens, aussi bien les vivants que les morts, je pouvais embrasser mes grands-parents, mes parents (décédés)… tous et chacun ! C'était un moment de plénitude merveilleux. J'ai compris que je m'étais trompée en ce qui concerne la réincarnation : on m’avait dit que ma grand-mère était réincarnée, mais sans me dire où. Comme il m’aurait fallu débourser beaucoup d’argent pour obtenir cette information j’avais abandonné cette idée et je n'avais pas fouillé davantage pour savoir en qui elle se serait réincarnée. Vous savez, je m’étais portée à la défense de la théorie de la réincarnation… Et maintenant, juste là, je venais d’embrasser ma grand-mère et mon arrière grand-mère…
Je l'avais bien embrassée, tout comme je pouvais le faire avec toutes les personnes que j'ai connues, vivantes et mortes. Et tous dans un seul instant. Ma fille Dolly, quand je l'ai embrassée, est devenue effrayée : elle avait 9 ans, et elle a senti mon étreinte, parce que je pouvais également embrasser les vivants (sauf que normalement nous ne sentons pas cette étreinte).
J’avais perdu trace du passage du temps pendant ce merveilleux moment. Maintenant que je n'avais plus de corps, c’était extraordinaire de voir les gens d’une façon entièrement nouvelle. En effet, avant que tout cela ne m’arrive je ne faisais que maugréer et critiquer: à savoir si on était gros, maigre, laid, élégant, non élégant, etc.
Quand je parlais des autres, j’avais toujours quelque chose à redire. Plus maintenant : je voyais les gens de l’intérieur, et comme c’était beau…En les embrassant je percevais leurs pensées, leurs sentiments…
J'ai donc continué à aller de l’avant, comblée de paix, joyeuse ; et plus je montais plus je sentais que j'étais sur le point de voir quelque chose de vraiment très beau. En effet, vers le bas, j'ai aperçu un lac extraordinaire oui ! Je voyais un magnifique lac, des arbres si beaux, mais si beaux, c’était merveilleux… Et des fleurs extraordinairement belles, de toutes les couleurs exhalant un parfum exquis, si différent de nos fleurs… Tout était si beau dans ce fabuleux jardin, si merveilleux… Les mots n'existent pas pour le décrire, tout n’était qu’amour.
Il y avait deux arbres, tout près de ce qui ma semblé être une entrée. Tout est si différent de ce que nous connaissons ici-bas : vous ne pouvez pas trouver de couleurs semblables dans le monde, là-haut tout est si beau ! … À ce moment-là j’ai vu mon neveu entrer dans ce jardin tout à fait splendide.
… Je savais ! J'ai senti que je ne devais pas et que je ne pouvais pas entrer là…
Le premier retour
Au même moment j'ai entendu la voix de mon mari qui se lamentait et pleurait amèrement en criant : « Gloria !!! Gloria ! S’il te plaît ne m’abandonne pas ! Pense à tes enfants, tes enfants ont besoin de toi ! Gloria, reviens ! Reviens ! Ne sois pas ingrate ! Reviens ! »
J'ai tout entendu, et je l'ai vu pleurer avec une grande peine…Hélas, c’est à cet instant que le Seigneur m'a permis de revenir…Mais je ne voulais pas revenir ! Cette paix, cette paix qui m'envahissait, m’envoûtait et me fascinait. Mais, lentement, lentement, j'ai commencé à redescendre vers mon corps, que j'ai retrouvé sans vie. Je l'ai vu complètement inanimé sur une civière de l'université Nationale de Nursing. J'ai vu les médecins qui tentaient d’effectuer des manœuvres de réanimation sur mon corps à l’aide de décharges électriques. Mon neveu et moi sommes restés plus de deux heures étendus sur le sol, étant donné que nos corps étaient encore chargés électriquement et qu’on ne pouvait pas y toucher. C’est seulement quand la charge électrique se fut complètement dissipée qu’on a pu nous porter secours. Et alors ils ont engagé les manoeuvres de réanimation.
J'ai regardé puis j'ai posé les pieds de mon âme (parce que l’âme a aussi une forme humaine), une étincelle a jailli de ma tête et avec violence je suis réentrée dans mon corps, comme si celui-ci m’aspirait à l'intérieur. J’ai senti une immense douleur en entrant :des étincelles ont surgi de partout et je me suis sentie être coincée dans quelque chose de très petit (mon corps). C’était comme si mon corps, avec son poids et sa stature entrait soudainement dans un ensemble pour bébé, mais fait de fer. C'était terriblement souffrant. J'ai senti la douleur intense de ma chair brûlée. Mon corps totalement calciné m’a causé une douleur indescriptible; ça flambait terriblement en dégageant fumée et vapeur… j'ai entendu les médecins crier : « Elle revient ! Elle revient ! »
Ils en étaient très heureux, mais ma douleur était indescriptible !Mes jambes étaient affreusement noires; il y avait des chairs vivantes sur mon corps et sur mes bras ! L’état de mes jambes s’était détérioré et on a considéré la possibilité de les amputer !…
Mais quant à moi je sentais une autre douleur intérieure aussi terrible : ma vanité de femme du monde, et de femme entreprenante, intellectuelle, l'étudiante… Esclave de mon corps, de ma beauté, de la mode, je consacrais quatre heures chaque jour aux exercices d’aérobic ; esclave de la beauté de mon corps, je fréquentais les salons de massages, je prenais avantage de régimes, diètes, ... bref de tout ce que vous pouvez imaginer. C'était ma vie, une routine d'esclavage et tout ça pour avoir un beau corps.
J’avais l’habitude de dire : « Si j’ai des beaux seins, il faut les montrer! Pourquoi les cacher?»
Je disais la même chose de mes jambes, parce que je savais que j’avais des jambes superbes, des muscles abdominaux ravissants… Mais dans un court instant, j'ai vu avec horreur comment ma vie entière n’avait été qu’une préoccupation continuelle et inutile de mon corps… Puisque c'était là le centre de ma vie : l’amour de mon corps.
Et maintenant, je n'avais plus de corps ! Au lieu des seins je n’avais que d’abominables creux, particulièrement le sein gauche, qui avait pratiquement disparu. Il fallait voir mes jambes, pareilles à des fragments dépourvus de chair, noires comme du charbon.
Note : (les parties de mon corps dont je prenais davantage soin et que j’estimais le plus, étaient celles qui étaient complètement brûlées et littéralement sans chair)